L’ACEL CARTONNE SOUS 500 LUX !

TENNIS DE TABLE

6ème tour de championnat,

Avec un grand soleil et le vide-grenier dans les rues, Couzon avait un petit air de fête en ce dimanche 25 avril. Peut-être un peu moins pour nos adversaires qui ont eu un peu de mal à accéder à notre salle et ont, semble-t-il, mal supporté notre nouvel éclairage.

En départementale 2, l’équipe de Nicolas Fumet gagne 35 – 19 : Fumet, Athoine, Varciat Bruno, et Tverdenko font le plein, Fumet-Tverdenko remportent leur double; seule la défaite en double de Varciat-Anthoine par 14 à 16 au cinquième set interdit de qualifier cette victoire de magistrale.

En départementale 3, ACEL 4  distance définivement ses poursuivants grâce à une superbe victoire par 34 à 20 contre Charcot: Haddad et Kédochim font le plein en simples (avec 3 perfs pour Kédochim !), Journet et  Chastagner perdent contre le même joueur, victoires en doubles de Chastagner-Kédochim et Journet-Haddad. ACEL 4 est assurée de disputer les journées finales.

LES RESULTATS DU 6ÈME TOUR

Pré-Régionale : VILLEFRANCHE – ACEL 1 : 29 – 25

Départementale 2 : ACEL 2 – CRAPONNE : 35 – 19

Départementale 3 : ACEL 3 – CHARCOT : 34 – 20 ;  BRIGNAIS – ACEL 4

Une réflexion sur “L’ACEL CARTONNE SOUS 500 LUX !

  • 21/05/2010 à 06:29
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    Ventrebleu !

    Votre serviteur ne peut que s’extasier devant ce magistral et exhaustif site. Comment ne pas y reconnaître la plume acérée de votre éternel scribe, adhérent cuisinier multicartes collaborant à votre service, dont les substantifs lourds de sens caché et trempés dans l’acide, soupesés au gramme près à la balance du fiel, comme le sont les ingrédients de ses mythiques mets, tournent en bouche à l’instar d’un Grand Cru Bourgeois, avant que d’être savamment distillés en mixture alchimique, fruit du venin du passé en habit de velours. Comment de vils esprits sarcastiques ont-ils un temps seulement osé avoir l’outrecuidance de vouer aux gémonies votre pari fou de surfer sur la toile bigbrotho-arachnéenne sans vous y laisser piéger comme le commun des mortels ?

    Ceux-là ignorent-ils donc que l’ancrage atavique à l’esprit vieille France et le feint passéisme dont vous vous fardez là, sont des provocations et des ruses masquées, destinées à induire en erreur les crédules qui ne voient que l’image par vous-même faussée ?

    A la lecture de vos jouissifs billets pamphlétaires, force est de constater que le temps n’a pas de prise sur votre plumage d’anatidé et ne parvient toujours pas à ramollir votre vivace plume. J’oserai même affirmer que votre verve se raffermit en ogive !

    Braves gens, méfiez-vous de la vieille buse à l’allure plantigrade : son esprit, lui, est aquilin, sa mémoire pachydermique, sa patience crocodilienne et sa tactique échiquéenne. Ces caractéristiques en font l’un des prédateurs les plus impitoyables de l’homo-àplatus, du politicus-verus et autres couillesmollusques peuplant fébrilement notre cher Val de Saône, tentant vainement de se croire importants, gesticulant sans cesse, brassant quantité d’air con-d’ici-au-nez, émettant des idées politiquement correctes dont l’odeur m’indispose, pour tenter de se persuader du devoir accompli, avant de s’avachir certains soirs d’équinoxe devant « L’île de la déjection » pour oublier l’étendue de leur misère cérébrale.

    Comme le disait Audiard :
    « J’ai le glaive vengeur et le bras séculier. L’aigle va fondre sur la vieille buse. »
    « Ah, putain, ça c’est chouette comme métaphore ! »
    « C’est pas une métaphore, c’t’une périphrase. »
    « Ah, tu fais chier ! »
    « Ca c’est une métaphore ! »

    Avec déférence et sincère amitié.

    Nico B.

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