Les SMS 2015 à l’ombre du 3PHIL, suite.

ET DONC, CETTE SYMBOLIQUE 20ÈME DÉGUSTATION N’A PU SE FAIRE AU 3PHIl, un lieu où les membres de l’ACEL sont interdits de séjour.

Alors où ?!

Ici, à la « Casa Sandro », un partenaire de l’ACEL ?

Là, au restaurant « Le Rive Droite », un autre partenaire de l’ACEL ?

Ou encore, au plus près des pierres de St-Romain ?…Non ? Alors, peut-être dans la salle des fêtes qui a été le lieu de tant d’organisations ACEL au cours de ses 61 années d’existence…;

Ce n'était pas une organisation ACEL et cette photo pourrait faire l'objet d'un kouki !

Non, et vous l’avez deviné, pour cette 20ème dégustation des Sabodets de « Maître Sibor », l’ACEL s’est réfugiée dans la salle qui porte le nom de son fondateur…

Qui croirait que c'est l'entée d'un des plus célèbres ERP de Couzon ?

…Dans la salle JOSEPH CHATAIN, qui maintenant fait partie d’un « complexe sportif » par les miracles de l’action bureaucratique dans le milieu architectural.

Mais avant la dégustation, qui consiste en fait à venir chercher les barquettes à disposition dans la salle…

… les sabodets sont confectionnés par Patrick BAUSSION dans sa boucherie de Couzon, puis cuisinés dans un ERP proche de la perfection bureaucratique…

… Avec une cuisine parfaitement aux normes et qui devrait rassurer la  Municipalité de Couzon qui a enjoint  l’ACEL de cesser l’activité cuisine au 3PHIL (cf. la lettre de la Municipalité) et donc de conduire l’ACEL à délocaliser son service traiteur réservé exclusivement à ses sociétaires.

Une photo du cuisinier bénévole de l’ACEL était déjà parue sur facebook, et, comme les acéliennes et aceliens  ne sont pas tous sur facebook,  en voici d’autres lors du découpage des sabodet dans la cuisine que chacun aura reconnue

Un exemplaire égaré d'ÉPOUVSIB ?!! Il va falloir faire une enquête !
Heureusement il y a JT qui apporte calme et sérénité.

LES SMS 2015 ONT DONC RELANCÉ OFFICIELLEMENT  L’ACTIVITÉ CUISINE POUR LE PLUS GRAND BONHEUR DES SOCIÉTAIRES DE L’ACEL

UN GRAND MERCI A LA TAVERNE DE DE DADA !

« Maître Sibor »