KOUKI 28, la solution
Loïs KÉDOCHIM vous parle
C KAN ?
C OU ?
C KI ,
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Roboflop
Je ne peux que sauter sur cette extraordinaire occasion!
C KAN ?
Entre mars 2004 et mars 2014 ? Soyons un peu plus précis.
Un bel après-midi printanier, le dimanche 30 mai 2010 aux environs de 15h57 (cf montre du pongiste tout à droite), lors des journées finales du championnat de Rhône de tennis de table par équipes en départementale 3. Ou plutôt, dans un souci d’exactitude, devrai-je dire que la photographie a été prise après le dénouement épique d’une belle finale contre Givors, après également une demi-finale maîtrisée car gagnée 10 parties à 0, après également un bon repas au restaurant de la commune où l’événement avait eu lieu (voir plus loin : « C OU ? »).C OU ?
Gymnase Municipal de Saint-Forgeux, petite commune dans le Rhône à l’Ouest de Lyon. Je reconnais effectivement la lumière on ne peut plus éblouissante du gymnase, expliquant l’aspect blanchâtre de la photographie (ou serait-ce celle des projecteurs braqués sur les grands gagnants, ou encore celle des flashs des paparazzis ?)C KI ?
Le collectif avant-tout, décrivons l’équipe dans son unité :
il s’agit de l’équipe 3 de l’ACEL Couzon tennis de table, accompagnée du coach (voir ci-dessous), portant le T-shirt sponsorisé par la Demeure du Chaos.
Individuellement, de gauche à droite :
– Sophie Journet, vaillante pongiste adepte de la défense; 38 ans sur la photographie.
– Xavier Chastagner, à l’arrière-plan (1m98!), jeune boulanger talentueux, employé à l’époque et propriétaire à l’heure actuelle d’une boulangerie à Saint Priest (Fournil San-Priots). Parlons sport : style attaquant, un top spin du revers « qui tourne » comme on dit dans le jargon (bien que celui-ci n’était pas aussi flamboyant qu’aujourd’hui); 23 ans sur la photographie
– Loïs Kédochim, alias Roboflop – ou Robotop selon la raquette, la hauteur du filet, la saison, l’état de la table, l’heure de son réveil et la fonctionnalité de son articulation tibio-fémorale gauche -, jeune collégien à l’époque, après un éprouvant brevet blanc début mai et un voyage scolaire en Suède mi-mai; 14 ans sur la photographie.
– Joël Tverdenko, également connu sous le valeureux surnom « Boris », ou Maître Sibor, ou Maître, ou l’Epouvsib, éminent coach de l’équipe, à qui l’on doit en partie le gain du double Journet-Haddad contre celui de Givors alors que celui-ci perdait 7-0 à la cinquième manche
– Julien Haddad, valeureux ping-pongeur au style attaquant, fin connaisseur en management.
Je n’ai strictement rien à rajouter à ce brillant commentaire où tout est dit avec une précision éblouissante.
Seul un autre Maître pouvait se permettre un commentaire….
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Le saut de Roboflop m’a tout l’air d’être top,
Car en lisant ses lignes, on ne peut qu’être sûr
Qu’il gagnera le plat, issu d’une autre échoppe,
Mais toujours Sibordien, bien que fait hors des murs.Quant à moi, j’ajournais, trop chaste à nier mes torts,
Du quai d’Hô-Chi-Minh-Ville où mes maîtres si bor…
déliques m’initiaient à ce doux adagio,
D’Albi, nos nids pongistes pour des lits plus royaux.
Loîs gagne donc un plat dans la carte du 3PHIL délocalisé;
« Maître Sibor »