3ème journée de championnat

QUAND SE RÉVEILLERONT-ILS ? AU CHANGEMENT D’HEURE ?!

            Troisième journée de Championnat et troisième défaite pour la deux, défaite pour la quatre, et la une, quelque peu endormie, est totalement défaite par Gerland ( 21 – 33 ! ) – j’espère que le cinglant du score l’aura réveillée – et devra montrer une autre ardeur dans le combat si elle veut se maintenir en Pré-Régionale ( et la confiance du Directeur Sportif  me laisse pantois) – Seule lumière dans cette ténébreuse journée, la 3 !

            Mais comment comprendre que l’équipe « fanion » inférieure de seulement 114pts (4910pts à 5024pts) s’écroule de telle manière (peut-être une cataplexie collective?). Si la prestation de Pierre Collet, remplaçant,  ne peut donner lieu à critique tant sa nonchalance dans le combat est réputée,  Didier Varciat fait deux contre-performances, suivi par Alexandre Tenaud (2 défaites dont 1 contre) puis par Sylvain Riou (4 défaites dont 1 contre). Mais, pas de panique, le sélectionneur a un plan !

            A l’inverse, la défaite de la deux est logique face à l’AS CALUIRE, supérieure de 514pts (3995pts contre 4509), et,  cette fois,  l’isabellisme a permis deux victoires d’ Anthoine (1115pts), une belle perf  contre Patin (1392pts), une victoire normale (ouf !) contre Testefort (632pts) et, avec Nicolas Fumet, une victoire  en double contre Ville (1155pts) et Patin tandis que  Gomez et Chastagner ont assuré leur classement, sans plus.

            Heureusement, il y a la trois ! Pas une seule défaite depuis le début du championnat pour cette formation qui vient d’accéder à la Départementale 2  et qui assure sa supériorité (2926pts contre 2691pts) face à BELLEVILLE : Sophie Journet (4v.), Julien Haddad (4v.), Loïs Kédochim (4v.) et Mathieu Levrold (2v) ont parfaitement maîtrisé leurs simples et, en double Journet-Kédochim ne laissent aucune chance à leurs adversaires (11/7,11/7, 11/7).

La prochaine journée aura lieu le dimanche 7 novembre, et le changement d’heure aura eu lieu la semaine précédente ! Ce qui explique peut-être l’incroyable sérénité du D.S.

                                                                                                                                                              J.M.L.