« MAITRE SIBOR » VOUS RÉPOND
Réponse à Nicolas Bonin.
Morbleu ! Quel est ce paltoquet, ce foutriquet qui se permet de prendre deux mois pour me répondre, penserez-vous lorsque vous serez retourné sur notre site et que, par inadvertance, vous aurez cliquer sur la rubrique « Maître Sibor vous répond » et j’accepte votre légitime courroux et vous prie de pardonner mon offense.
Mais je reste moralement beethovénien et donc je vous répond parce qu’il le faut ! Palsambleu !
Et que répondre à ce panégyrique de notre site, qui ne va tout de même pas jusqu’au dithyrambe, et qui glisse insensiblement vers une priapée de son fondateur, comme un clin d’oeil à son activité au jardin de l’ACEL ?
Rien, sinon il faudrait reprendre en détail toute l’histoire de l’ACEL depuis votre arrivée, comme simple pongiste-loisir puis devenu notre Président qui eut l’honneur, en 2004, d’inaugurer les festivités de notre cinquantenaire par un discours, politiquement incorrect, dont les vérités assénées provoquèrent le départ de leurs destinataires, et le début d’une longue guerre de tranchée conclue en armistice par notre actuel Président puis, à la suite des dernières élections municipales, par la disparition des couilles molles et un pacte de non-agression, voire un traité de paix. Rien, sinon que, rassurez-vous, l’eau vive me va bien et me fait penser aux prés verts des Vosges et leurs taillis de sapins. Elle me rappelle aussi la vision d’un président excentrique peiner dans les bosquets du Val de Saône .
Rien, sinon vous exprimer ma gratitude pour avoir su choisir l’ACEL, la buse et le site pour vous exprimer.
Et vive le céleri en branche !
A bientôt !
« Maître Sibor »